Le Congrès de l'Immersion Communautaire (IMCO) clôt le module "Immersion communautaire" du programme de médecine dispensé par la Faculté de biologie et de médecine de l'Université de Lausanne.
Les étudiantes et étudiants en fin de 3ème année sont amenés à réaliser un travail de terrain sur une thématique de santé de leur choix: des tutrices et tuteurs les guident dans la réalisation de leurs travaux. Les étudiantes et étudiants doivent réaliser des présentations publiques des travaux qu'elles et ils ont réalisés. Il inclut également la conférence d’une ou d'un spécialiste dans le domaine de la santé communautaire. Les meilleurs travaux se voient décerner un prix attribué par l'un des organismes de soutien du congrès. Certains travaux sont également retenus pour publication dans une revue médicale. L'ensemble des travaux sont consultables ci-dessous.
- Retrouvez tous les détails du cahier 2025-2026 du module "Immersion communautaire".
- Programme détaillé du Congrès 2025
- Prix de l'Audace décerné par le Board: Groupe 11 dont le sujet est "Âge et dignité dans la délibération éthique autour du suicide assisté"
- Prix de la Communication décerné par le Board: Groupe 1 dont le sujet est "Accès à la médecine personnalisée en Suisse : exemple de la thérapie CAR-T"
- Prix du Jury décerné par le Board: Groupe 17 dont le sujet est "Quand l’annonce de la fin de vie rencontre croyances et cultures : enjeux pour les soignants et les communautés"
- Deux prix "Qualité du travail d'Immersion Communautaire" décerné par le Jury de l'AVASAD: Groupe 3 sont le sujet est "Santé mentale et assurance sociale" et Groupe 19 dont le sujet est "Soins palliatifs : et si on arrêtait d’attendre la mort ?"
- Prix du public - meilleur poster: Groupe 23 dont le sujet est "Augmentation de la consommation des boissons énergisantes chez les 20-25 ans - perception du phénomène d’addiction et des facteurs précipitants"
- Groupe 1 dont le sujet est "Accès à la médecine personnalisée en Suisse : exemple de la thérapie CAR-T"
- Groupe 3 dont le sujet est "Santé mentale et assurance sociale"
- Groupe 10 dont le sujet est "Prise en charge des pertes de grossesses précoces : obstacles et enjeux lors du deuil prénatal"
- Groupe 19 dont le sujet est "Soins palliatifs : et si on arrêtait d’attendre la mort ?"
- Groupe 23 dont le sujet est "Augmentation de la consommation des boissons énergisantes chez les 20-25 ans - perception du phénomène d’addiction et des facteurs précipitants"
- Groupe 39 dont le sujet est "Sexualité, films/séries et ados : quelle implication dans la prévention ?"
économique des personnes concernées, en pouvant limiter leur participation à la vie en société et leur accès à une stabilité financière et touchent 4 à 6% de la population suisse.
via des prestations financières ou des mesures de réinsertion.
population. Un tiers de la population souffre de problèmes de santé chroniques et la prévalence de la détresse
psychologique ainsi que du surpoids et de l’obésité sont en augmentation.
majeur de santé publique en Suisse. Sa prévalence a plus que doublé en 30 ans, passant de 5.4% à 12% entre 1992
et 2022.
L’annonce d’une mauvaise nouvelle constitue une étape cruciale du parcours de soins, générant un fort impact
émotionnel pour la personne concernée, ses proches et les professionnel·le·s impliqué·e·s.
dès le diagnostic, une prise en charge précoce centrée sur la personne.
est souvent plus brutal, augmentant le risque de deuil compliqué1, et peut être vu comme un échec par les
soignants.
grossesses.
en lien avec la dignité humaine, une notion aussi centrale que controversée.
humaine d’une intensité singulière. Au-delà de la douleur de la séparation, les parents doivent composer
avec un bouleversement total de leurs repères émotionnels, sociaux et parfois existentiels.
des ressources médicales, psychologiques, sociales, culturelles et spirituelles. En Suisse, les patient·e·s
allophones (celles et ceux dont la langue principale n’est pas la langue de l’endroit où ils/elles sont
soigné·e·s) rencontrent des défis spécifiques dans cette phase, en raison de barrières linguistiques,
d’incompréhensions culturelles, d’un accès inégal aux dispositifs de soins palliatifs, et parfois d’un
isolement social accentué.
et enfants) et de leur famille, confronté·e·s aux problèmes liés à des maladies potentiellement mortelles.
de personnes à travers le monde et pourrait en toucher 139 millions d’ici à 2050, ce qui en fait un enjeu
sanitaire prioritaire.
jeunes praticien.ne.s, les premières confrontations avec la mort suscitent une vaste palette de réactions : un sentiment d’échec ou de détresse, le silence, le déni.
évolutives, par une prise en charge globale de leurs symptômes physiques, psychiques, sociaux et
spirituels.
