Immersion Communautaire

Le Congrès de l'Immersion Communautaire (IMCO) clôt le module "Immersion communautaire" du programme de médecine dispensé par la Faculté de biologie et de médecine de l'Université de Lausanne. ​​

Les étudiantes et étudiants en fin de 3ème année sont amenés à réaliser un travail de terrain sur une thématique de santé de leur choix: des tutrices et tuteurs les guident dans la réalisation de leurs travaux. Les étudiantes et étudiants doivent réaliser des présentations publiques des travaux qu'elles et ils ont réalisés. Il inclut également la conférence d’une ou d'un spécialiste dans le domaine de la santé communautaire. Les meilleurs travaux se voient décerner un prix attribué par l'un des organismes de soutien du congrès. Certains travaux sont également retenus pour publication dans une revue médicale. L'ensemble des travaux sont consultables ci-dessous. 

Les groupes primés lors de l'édition 2025
2021
Le rôle du médecin est de promouvoir la santé. Or, l’environnement exerce une influence sur la santé. Le thème du changement climatique date des années 1970. En 2021, il est devenu une problématique importante qui met en jeu la santé de toute la population, y compris lausannoise.
2021
La pandémie mondiale de SARS-CoV-2 a bouleversé le quotidien de toutes les classes sociales de la population. Cette situation a eu des répercussions considérables, notamment sanitaires et socioéconomiques, en particulier sur des populations déjà précarisées et marginalisées, comme les personnes à faible revenu (workings-poors)
2021
La pandémie de COVID-19 a créé énormément de débats, avec notamment des points de vue divergents que l’on peut qualifier de sceptiques.
2021
La médecine somatique clinique s’intéresse aux effets de la maladie à coronavirus SARS-Cov2 (COVID-19) sur l’organisme, aux traitements et au suivi à court et à long terme. Dans ce contexte, l’Office Fédéral de la Santé Publique (OFSP) a adopté des mesures restrictives pour limiter la propagation du virus au sein de la population suisse.
2021
Cette tranche d’âge, potentielle rebelle aux cadres stricts, a été largement perçue par ses aîné·e·s comme un mauvais exemple d’adhésion aux recommandations sanitaires et comme vecteur important de propagation du SARS-CoV-2
2021
En Suisse, 4% de la population souffre de maladies oncologiques. Dès le début de la crise sanitaire liée à la COVID-19, cette population a été considérée comme vulnérable, dû au risque de développer des complications graves lors d’une infection par le SARS-COV-2.
2021
Les étudiants n’ont pas été épargnés. Selon une étude menée en Suisse en avril 2020, les interactions sociales sont devenues plus rares, avec plus d’étudiants révisant seuls.
2021
En Suisse 13% de la population présente des problèmes d’audition, dont 1,1% sont sourd·e·s, soit environ 80'000 personnes. Ces personnes rencontrent des difficultés dans tous les domaines de la vie quotidienne, particulièrement en lien avec la communication
2021
Les mesures restrictives de la pandémie de Covid-19 ont drastiquement affecté la population générale et les personnes à mobilité réduite (pmr) du point de vue physique et psychologique.
2021
« "On ne fait pas de décès par FaceTime ou par Skype". Cette phrase lancée par un responsable d’EMS pose les bases d’une situation sensible. Les proches de personnes en fin de vie peuvent-ils en période de pandémie aller leur dire adieu ? »
2021
Lors de l’annonce du confinement en mars 2020, certains experts s’attendaient à un babyboom (7,9) en raison de la promiscuité des couples à la maison. Or, selon de récentes données, une diminution des grossesses au CHUV fin 2020 et début 2021 est observée
2021
Il a été constaté que les personnes âgées (PA) ont été mises de côté durant cette pandémie sous plusieurs aspects tels que les mesures prises par les autorités l’ont été au terme de réflexions pouvant être considérées comme « paternalistes » à l’égard des aînés
2021
Le SARS-CoV-2 a fait émerger davantage les diverses disparités au sein de la société. L’état de santé d’une personne est modulé par son statut socio-économique, la rendant plus ou moins vulnérable.
2021
Dans notre société moderne, l’accès aux soins est un besoin fondamental. Pourtant, des études menées en Italie, mais ailleurs également, ont pu démontrer une diminution de 30% des consultations aux urgences en mars 2020, ainsi qu’une diminution du nombre d’infarctus du myocarde diagnostiqués.
2021
La pandémie de COVID-19, et le premier confinement (mars 2020), ont eu des répercussions majeures sur les systèmes de santé, incluant le suivi des femmes enceintes. Celles-ci étaient potentiellement à risque de complications, par analogie à ce qui avait été démontré lors des précédentes épidémies de coronavirus.
2021
La pandémie COVID a touché le thème du deuil d’une part par le nombre de décès qu’elle a causé et d’une autre de par les mesures sanitaires qu’elle a engendrées.
2021
Depuis l’émergence du VIH dans les années 1980, les programmes de promotion de la santé et de prévention ont contribué positivement à la santé des HSH suisses. Cependant, l’apparition du COVID-19 au printemps 2020 a représenté un obstacle à la lutte contre le VIH.
2021
Dans le contexte de pandémie de COVID-19, le confinement instauré en mars 2020 avait pour but premier de limiter la propagation du virus et de protéger la population. Cependant, il a occasionné de nombreux dommages collatéraux, notamment la dégradation de la qualité de vie des personnes considérées comme âgées, c'est-à-dire de plus de 65 ans, et ce, de façon très inégale.
2021
En Europe, la prématurité est responsable de 75% des décès périnataux (1). La Suisse n’est pas épargnée de ce problème de santé publique, avec 6,7% des bébés qui naissent trop tôt.
2021
L’hésitation vaccinale, refus ou retard dans l’acceptation des vaccins malgré leur disponibilité, est un phénomène complexe et multifactoriel.